Cristino Albert Gómez
[dominicain]
Mes yeux pleurent quand un saint meurt,
Mes yeux pleurent quand l’homme cruel meurt,
Mes sens ne distinguent pas les larmes des tristes pleurs
De ces deux mères qui ont vu naître leurs enfants.
Ils brûlent le sang, ces larmes, ces pleurs ardents,
Ils transpercent la terre et l’asphalte.
Poignantes sont les voix de ces mères qui supplient
La justice glaciale ; cette justice froide
Qui ne laisse pas la paix régner
Dans le cœur de ces deux mères.
Adapté en français par Athanase Vantchev de Thracy
http://www.athanase.org
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